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La Guilde des Ombres

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Message  Anayos Mer 18 Juil - 17:04

Salut la compagnie ! Alors moi aussi je voudrais vous faire partagez une petite histoire écrite par moi-même ! C'est une des premières que j'ai faite, je l'avais d'abord écrite pour un serveur RP Semi-strict qu'un copain et moi avions fais.

S'il reste quelques fautes n'hésité pas à me le dire, j'écrirais probablement la suite un jours ^^




Nom : Nedrasin
Prénom :  Adrien
Sexe : Masculin
Age : 23 ans (Je précise qu'au début de l'histoire le personne n'a que 10 ans)
Race : Humain
Lien de Parenter : Inconnu
Clan : Ravenholdt


Avantages : Adrien est peut-être jeune, mais il a du courage, jamais il ne tournera le dos à quelqu'un qui a besoin d'aide, même si la bataille, ou la cause est perdue d'avance, il voudrait mieux mourir que de reculer devant un défis mais, ce n'est pas tous, il est toujours très calme, rien ou presque ne peux le faire mettre en colère, même dans des combats désespérer il cherchera une solution logique, une stratégie, etc .. plutôt que de s'emporter à porter des coups puissants qui l'épuiseront


Désavantages : Adrien est jeune, est donc il n'a pas la force ou l'expérience d'un soldat plus âgés que lui et plus entrainer que lui. De plus malgré son calme à toute épreuve, il a tendance à allez vers les ennuis, une ruelle sombre et silencieuse, avec marquer "Ici c'est un piège" vous passeriez vite votre chemin ? Et bien pas lui, il foncerait dedans tête baisser !


Description Morale : Jeune, courageux et un peu de folie, Adrien est un jeune comme les autres ou presque, il est toujours calme, ce fond dans la masse, il reste discret et ne se mele pas des affaires des autres, tant que ces dernières ne concerne pas lui, sa famille, ou sa guilde. Adrien est très stratégique et n'hésite pas à utiliser les objets autour de lui pour les mettre à son avantage.


Description physique : De longs cheveux bruns foncés, des yeux noirs d'encres, un corps grand et mince, agile, mais pas une très grande capacité physique. Son visage porte une cicatrice allant de l'oeil jusqu'au coin de la bouche, cicatrice faite pendant un duel. Il porte presque tout le temps des vêtements en cuirs un peu usée pour certain.


Premier chapitre :
La rencontre, imprévus ?




Dans une petite ferme non loin de la grande cité d'Hurlevent, un drame vient de se produire un jeune garçon viens juste de devenir orphelin, ses parents foudroyer par une maladie. Le jeune garçon se réfugia dans les bas quartiers de Hurlevent, volant de quoi se nourrir, pendant deux ans, mendiant et réalisant de petits travaux mineur pour certain villageois, ou comme guide pour des commerçant de passage, il vivait dans la pauvreté, mais il vivait heureux, les commerçant connaissez bien se jeune garçon aux cheveux bruns, toujours souriant et sur qui on peux compter.

Beaucoup de marchant ou quelques nobles discutaient avec lui, mais aucun ne lui à jamais proposer de venir avec lui, il était dans les ruelles de Hurlevent, et il le resterait, il le savait, mais il aidait ceux qui en avaient besoin.

Un jour alors qu'il se rendait dans le quartier des commerçant il surprit un homme en train de voler un collier à un marchant de bijoux, celui-ci n'avais rien remarqué, mais Adrien lui, qui était très observateur et qui connaissait plutôt les petits trucs pour... Prendre des objets aux marchants qui ne fessaient pas attention, avait tous vu. Mais cet homme n'avait pas le droit de voler, car Adrien ne vole que pour se nourrir, si vraiment il n'a rien d'autre à manger.

Il s'avança lentement vers l'homme, en cuir, avec une cape sombre, un chapeau noir sur la tête, malgré son look un peu étrange personne ne semblait faire attention à lui, pourtant en ce temps-ci, les personnes étrange effrayer et finissez souvent entouré de garde pour un interrogatoire sur leurs provenances, mais pas lui.

« Étrange » se dit Adrien.
   
      



L'homme commença à se dirigeait vers les quartiers sombres de la ville, avec le magnifique collier avec un beau bijoux au bout de la chaine, surement un rubis, car il était rouge. Adrien fessais bien attention de ne pas faire trop de bruit et de se cacher pendant sa poursuite, avec cette inconnue voleur au look étrange. Il lui sembla que l'homme souriait, mais avec son chapeau et l'angle de vue, cela devait être son imagination ! Pourquoi sourirez-t-il ?

L'homme tourna dans une ruelle, Adrien se dépêcha de se mettre à l'angle de la ruelle pour voir ou allez l'étranger avant de le perdre de vue, mais...

-Mais... ou-t-il ?! Il vient juste de tourner et... Disparut ?! Mais comment a t-il fait ?! Dit-il doucement.

La ruelle était vraiment très sombre, les bâtiments fait avec un vieux crépit grisâtre était tellement proche et haut que le soleil avait peine à passer. La ruelle sentaient mauvais, et un petit filet d'eau coulée au milieu de la ruelle surement vers les canaux de la ville.

-Je ne suis pas sur de... Oh et puis si ! Il a volé un collier, je dois le reprendre et le rendre à se marchant, il me récompensera peut être, je n'ai pas mangé ce matin..

Adrien s'avança lentement dans la ruelle, prudemment, observant tous, écoutant le moindre bruit suspect. Quand il fut au milieu de la pièce, il entendit du bruit derrière lui, comme si... Quelqu'un sortais un couteau d'un fourreau ou quelque chose comme ça. Il se figea et se retourna d'un seul coups.

Devant lui se tenais un homme, plus précisément l'Homme au chapeau noir, le voleur. Il tenait une petite épée, plus grande qu'un couteau, ou une dague, mais moins qu'une épée classique. Adrien tremblait. L'homme s'avança tous doucement vers lui.

Adrien tenta avec le peu de courage qu'il lui restait dans cette ruelle et face à cet homme : -Vous.. vous avez quelque chose qui.... qui ne vous appartient pas, sir, vous... vous pourriez le rendre ?

L'homme sourit, mais continua de s'avance lentement vers lui, Adrien était figé sur place, il était paniqué et senti sa dernière heure arrivée, l'étranger plongea doucement une main dans une de ses poches intérieures et en sortie le collier. Adrien fixa le collier, puis l'épée, puis la tête de l'homme.

Mais celui-ci était déjà arrivé sur lui.

-Me.. Me tuais pas ! Je vous en pris !

D'une voix grave, l'homme lui dit :

-Te tuer ? Non, tu n'es pas ma cible et tu es un jeune garçon plein de bonté et surtout de courage, mais sais tu, qui je suis ?

-N...Non sir.

-Et bien je m'appelle Allan, Assassin de Ravenholdt.

-Un assassin ! De Ravenholdt ?

Adrien leva les yeux vers l'homme, celui-ci avait enlevé son chapeau, laissant au garçon le plaisir de l'observer, son visage donna une impression de bien être et de sécurité à Adrien, celui-ci se détendis un peu.

-Pourquoi m'avoir suivis petit ? Surtout dans les bas quartiers de la ville ?

-Pour ce collier, Sir, vous l'avais volé à un marchant et j'aime beaucoup se marchant.

-Et pourquoi est-ce que tu l'aimes bien ?

-Car il me nourrit depuis presque un an, sans lui, je serais mort surement.

-Mais ou son tes parents ? Ta famille ?

-Mes parents sont morts... A cause de la peste, un groupe de loups affamé a attaqué notre ferme, mon père et ma mère sont allés les renvoyer vers les Le Bois de la Pénombre, mais les loups les ont mordu, ils ont étaient infectés...

-Je vois, je vois et tu débrouilles seul depuis ? Tu n'as pas d'amis ? Un but ?

-Oui seul et des amis, je n'en est que très peu ils vont tous à l'école, moi, je ne peux pas et j'aimerais beaucoup voyager, vous voyager vous Sir ?

-Oh oui, je voyage beaucoup mon petit, dit moi, que dirais tu de m'accompagniez dans un de mes voyages ?

-Oh oui j'aimerais beaucoup ! Mais, je n'est pas de quoi payer...!

-Payer ? Non ! Mais tu pourrais m'aider ? A faire la cuisine en chemin par exemple ? Ou d'autre petite tâche qui m'aiderait beaucoup.

Le gamin toute content accepta sans réfléchir et tapa dans la main d'Allan. Signant un voyage vers l'inconnu. L'homme souriait.

-Que dois-je prendre avec moi Sir ? Dit Adrien tous content que quelqu'un le prenne enfin sous son aile

-Viens, nous allons nous préparer.

Allan avait acheté chez un armurier, une belle petite dague et chez d'autres quelques ustensiles pour la route.

Alors qu'ils se trouvaient sur la grande place, Allan demanda à Adrien :

-Es-tu près petit ? Nous ne reviendrons surement que dans quelques mois, le voyage sera long, pénible et très dangereux.

-Oui sir, je suis près ! Je veux voyager ! C'est mon rêve !

-Bien alors dans ce cas, allons y...! Oh et prend ceci, cela pourra toujours te servir pendant ce voyage.

Adrien regarda la belle dague que lui tendais l'homme, il l'a pris du bout des doigts, l'observa, la retourna doucement dans tous les sens pour regarder la fine lame, dessus, une petite inscription avec un dessin, l'inscription, il ne pouvait pas la lire, surement de l'elfique pensa-t-il, mais le dessin était une belle rose noir. Il rangea prudemment la dague dans un petit fourreau que lui tendais Allan et l'accrocha autour de sa taille.

Ainsi début son long voyage... vers un endroit inconnu du jeune garçon.

           
Chapitre deux : Voyage vers l'inconnu

          

-Maitre Allan ? Ou allons-nous ?

-Patience mon petit, patience.


Alors qu'ils descendaient les escaliers menant au grand port de Hurlevent, un bateau de taille respectable arrimât.

-Tu vois ce bateau petit ? Et bien c'est notre transport. Dit Allan d'une voix calme, comme toujours.

-Waah ! On va vraiment prendre le bateau ? C'est génial ! Adrien se mit à courir vers le bateau, descendant les marches quatre à quatre.

Allan se mit à rire devant l'impatience du jeune garçon, il est parfait se dit-il.
Arrivé devant le bateau, un maitre de pont agrippa le jeune garçon par la chemise.

-Holla, toi jeune homme ! Ou cours tu comme ça hm ?

-Et lâchez-moi, je suis avec Maitre Allan, on va prendre le bateau juste là.

Le maitre de pont se mit à rire.

-Toi prendre le bateau ?! Tu n'es qu'un jeune garçon, retourne donc à l'école, garnement.

Le maitre de pont allez le lâcher, quand une voix calme, mais froide lui dis de derrière.

-Pause ce garçon Marin. Il est avec moi.

L'homme se retourna, observa l'homme cinq minutes, puis reposa Adrien à terre.

-Bien sir, bon voyage.

L'homme tourna les talons et partit rapidement, s'occuper d'autres affaires

-Merci Maitre Allan.

Allan lui passa la main dans les cheveux et l'ébouriffa.

-Allez monte dans le bateau, avant qu'il ne parte sans nous !

-Ah non alors ! Il ne partira pas sans nous !
        


Ils montèrent dans le bateaux, le maitre de bord et Allan allèrent discuté sur le ponton supérieur, près de barre, juste après avoir lancé un grand « Levez l'encre ! » Le bateau ne mit pas longtemps à l'éloigniez du port et des côtés, Adrien s'aventura dans le bateau, la première cabine ne contenais que quelques tables, avec des chaises, une ou deux bières oubliées par leurs buveurs par-ci par là. Un jeu de carte et quelques babioles appartenant surement à l'équipage. Adrien continua son exploration du bateau, la deuxième pièces contenaient des tonneaux et des caisses, pleine de nourriture et de vivre pour un long voyage on dirait.
A gauche il y avait une porte en bois massif, Adrien poussa dessus et arriva dans une chambre, un grand lit en chêne, avec un matelas en plume se trouvais à gauche, une petite armoire fermée au fond de la pièce et quelques fleurs posé sur des commodes contre le mure, de petites fenêtres donnée une vue sur la mer, Adrien s'assit sur une commode et observa la mer, ses pensées commencèrent à dériver, vers l'endroit qu'il venait de quitter, Hurlevent, les marchants, sa vie dans les ruelles et plus loin encore. Sa famille, la nuit de l'attaque de la ferme, ses parents couché sur leurs lits, le médecin essayant de contenir et élimer la peste de leurs plais, mais rien à faire, c'était fini. Une larme se mit à couler sur la joue, puis une deuxième et une troisième, ses yeux se fermer, alors que le soleil descendait sur la mer, ses larmes continué de tomber, puis, le noir, il s'était endormi sur la commode. 



-Allez matelot ! Rabattez la grande voile ! Attachez les cordages et tenez vous bien ! ça va secouer !

Adrien se réveilla en sursaut, des cris, des objets qui tombaient, le bateau qui tremblait de partout.

-Mais qu'est ce qui se passe !

Adrien se redressa, il était couché sur le lit en plume, dans la chambre qu'il avait visitée juste avant de... de s'endormir ? Oui il s'était endormit ! Il observa encore une fois la chambre, puis courut jusque sur le pont là, une vague déferla sur le pont et le trempas jusqu'aux os, le fessant tombé à terre. Une tempête énorme les avaient pris, le bateau était secoué de toute part. Il chercha Allan des yeux et mis quelques temps à la trouver dans la cohue des marins attachant les cordes, chassant l'eau du pont, ou simplement s'agrippant au bastingage. Il cria :

-Maitre Allan !

Allan baissa les yeux et aperçut le jeune garçon au milieu du pont. Un marin cria :

-Déferlante ! Accrochez vous !
Une vague immense s'avançait vers le bateau à toute vitesse, Adrien tourna les yeux vers la vague, mais trop tard, elle était sur eux, elle s'écrasa sur le bateau. Emportant ce qui n'était pas accroché, ou attaché.


-Adrien !

Allan sauta les marches pour atterrir sur le pont, cherchant Adrien des yeux, il était contre le bastingage mais, ne bougé pas. Allan se précipita vers lui.


-Adrien ? Adrien ! Répond moi.
Le jeune garçon remua doucement les lèvres, mais aucun mot ne sortit, il était complètement assommé par le choc. Allan le porte jusque dans sa chambre, le déposa sur le lit, puis vérifia s'il n'avait rien de grave.

-Il n'a rien heureusement.


-Oui, mais il a pris un sacré choc.

-Pourquoi ce petit est si important pour toi ,Allan ?

-Il me fais penser à...

-Je vois, tu veux l'emmener jusque là-bas ?

-Oui, je l'entraînerais moi-même, jusqu'à ce qu'il me batte.

L'homme qui était dans la chambre avec Allan sorti lentement de la pièce, puis Allan se releva, observa Adrien un instant, puis sorti lui aussi. Adrien dormit une journée entière, Allan, veillant sur lui. Le bateau était sorti de la tempête et les marins avaient donné tous leur possible pour arriver vite, ils étaient fatigués de cette dure épreuves. En milieu de journée Adrien venais juste de se réveiller, cela fessais 3jours et demi qu'ils naviguaient en mer, lorsque soudain.


      

-Terre ! Terre !

-Nous y voilà enfin, Austrivage, nous touchons au but.


Adrien arriva sur le pont, le soleil était haut dans le ciel et ses yeux lui firent un peu mal au début, il observa le ponton, tous avait été remis à ça place, les marins allaient toujours aussi vite, avec autant d'efficacité, mais ils avaient un peu l'air fatigué, lui avait une mine radieuse, ses cheveux bruns un peu bouclé lui tomber presque sur les épaules et ses grands yeux noir observé tous. Il vit Allan et le capitaine près de la barre, ils scrutaient un point vers bâbord Adrien, s'approcha du bastingage et observa dans la même direction qu'eux, au loin, de grandes montagnes enneigé se dessiner et plus proche d'eux, un petit port fait de planches de bois et pilotis, quelques maisons, une auberge et on dirait une mairie derrière, sur la gauche du village, se trouvaient des champs et encore des champs, avec de grands arbres un peu partout.
Adrien, monta près de son maitre qui quand il le vit, souris.

-Adrien, comment te sens tu ?

-Mieux maitre, je vous remercie.

-Bien, bien tant mieux, car notre voyage touche à son but, nous sommes bientôt arrivés. Mais nous nous arrêterons là, pour quelques jours. Va préparer tes affaires, je les ai fait mettre dans l'armoire de la chambre.

-Bien Maitre Allan.


Adrien parti dans sa chambre, puis en ressortit 15 minutes après, le bateau avait accosté et l'équipage déchargé quelques affaires, Allan se trouver près du pont, surement en train de l'attendre. Il se dépêcha d'aller le rejoindre, l'équipage l'aida à passer la passerelle qui rejoignait le pont, puis Allan se mit à marcher en direction de l'auberge du village. Adrien, le rejoignit en courant.
-Maitre Allan, Maitre Allan ! Pourquoi somme nous allez ici ?

-Pour de bonne raison, que tu découvriras bientôt, ne tant fais pas.

Le garçon ne chercha pas à en savoir plus, il savait qu'Allan n'en dirais pas plus.
 

Chapitre trois : Le choix d'une vie


Il le suivi vers l'entrée de la taverne, Allan s'arrêta.
-Tiens Adrien, prend cette bourse et va voir l'aubergiste demande lui une chambre pour toi, il y a assez pour plusieurs jours, visite donc le village ou les alentours. Je dois aller... voir quelqu'un, mais tu ne peux venir avec moi, pour le moment, je reviendrais d'ici peu, ne tant fais pas.


-Mai...Maitre Allan ! Vous, vous reviendrais ? Vous le promettez ?

-Oui, je reviendrais, d'ici trois jours, maximum.

-D'acc.. D'accord Maitre Allan.

Allan sourit au jeune garçon puis, partit vers les écuries, Adrien rentra dans l'auberge puis observa l'intérieur. Une auberge comme les autres, avec quelques buveurs et joueurs de carte, mais quelques marins aussi, qui fessais le plein de bière avant que le capitaine ne leur dise de reprendre la mer !
Plusieurs tables étaient vide, avec des chaises autour, la cheminée était vide, aucun feu, il fessait assez chaud. Un escalier à gauche devais mener aux chambres. Un vieux bonhomme au gros ventre se tenais derrière un comptoirs tenant en main un torchon et un verre mouillé, il l'astiqué pour le rendre brillant. Adrien s'avança vers lui.


-Heu, excusez-moi, vous êtes l'aubergiste ?

-Oui petit ! C'est bien moi, qu'est-ce que je peux faire pour toi ?

-Je voudrais une chambre, pour moi, pour trois jours.


-Ah bien bien bien, une chambre, oui il m'en reste une ! Mais dis moi petit qu'est-ce que tu fais tous seul ici ? La région est dangereuse en ce moment.

-Je suis venus avec mon Maitre, mais il a dû partir pour quelques temps, il m'a laissé ici, le temps qu'il finisse une mission je pense.

-Ah un apprentis alors ? Et bien jeune homme sois le bienvenu chez moi, ta chambre et la première à gauche à l'étage. Les cuisines sont presque toujours ouvertes, commande et tu seras servi ! Oh et c'est deux pièces d'or pour une chambre seul, par jour. Mais comme il est déjà tard, je te fais cadeaux de la fin de journée.

-Merci beaucoup.

Adrien tourna les talons et alla vers sa chambre. Il se retrouva devant la porte de la chambre, il l'ouvrit puis entra dans la pièce, la chambre n'était pas grande, mais suffisamment pour lui. A gauche, se tenais une armoire, assez grande. Il déposa devant son sac, avec ses affaires. Au fond de la pièce, un lit à baldaquin en bois se tenais près d'une petite commode avec une bougie éteinte et neuve apriori. Sur la droite une petite table avec deux chaises, sur la table, un encrier et quelques feuilles vierge étaient posés. Adrien s'assit sur le lit. Une lettre était posée sur le lit.


-Hm ? Une lettre ?


Il l'ouvrit doucement et en sorti la feuille. Il se mit à la lire.

"Un jour, un vieil homme m'a dit, que je rencontrerais un jeune garçon, brun, les yeux noirs comme de l'encre, tous comme toi et que ce garçon deviendrait mon élève, à l'époque je n'avais pas crut à ses dires. Mais à Hurlevent, le jour de notre rencontre, je me suis souvenu de cet homme et de ses paroles. Je fais partie des assassins de Ravenholtd cachés dans les montagnes au-dessus du fort de Dum, si dans trois jours je ne suis pas revenu va là bas, avec cette lettre. Tu auras un choix à faire, Partir, ou devenir l'un des notre. Choisit bien ta destinée Adrien."        
        

        
Signé Allan.  
       



En dessous de la signature, une rose noire à était dessiné. 

Adrien resta quatre jours à l'auberge, visitant la petite ville d'Austrivage, le matin du cinquième jours, il décida de suivre les conseils de la lettre d'Allan, il rassembla ses affaires, puis parti à la recherche de Ravenholdt.


        
        
            
Chapitre quatre : Ravenholdt     
     

    
     
Cela fessait déjà trois jours qu'Adrien chercher, mais chercher quoi exactement ? Un château ? Un village ? Une forteresse ? Il ne savait pas réellement, la lettre disait de se rendre dans les montagnes, au-dessus du fort de Dum, il avait cherché deux jours à la base des montagnes, un passage, ou un chemin, mais il n'y avait rien.      
     
La nuit tombée, il décida de s'arrête pour aujourd'hui. Il prépara un petit camp, rassembla quelques branches mortes et du petit bois pour allumer du feu, le soleil tombé bien vite près des montagnes et le coin n'était vraiment pas accueillant. La nuit des bruits se fessais entendre, il ne dormait qu'à moitié.      
     
Il s'assit près du petit feu et plongea son regard dedans, que deviendrait-il de lui si Allan se tromper ? Et lui, ou était-il ? Il n'en savait rien. Il continua à penser et à rêver pendant quelques heures puis s'endormit seul, près du feu rougeoyant. Au milieu de la nuit, des bruits plus forts et plus proche que d'habitude lui firent ouvrir les yeux, il sortit sa petite dague de son fourreau et la prie solidement dans sa main, le feu était totalement éteint, seul quelques braises rougeoyaient faiblement sous la lune. Un bruit derrière lui, il se retourna doucement sans bruit, rien, il ne voyait rien dans ce noir, un autre sur le côté et l'autre aussi ! Il était encerclé !      
     
Une main lui pris solidement l'épaule et une dague se plaça sous la gorge.

    
-Un seul mot et tu es mort. Dit-une voix sombre.      

    
     
Adrien n'osais presque plus respiré.

    
     
-Donne-moi ta dague.

    
     
Adrien ouvrit doucement sa paume, laissant sa dague tombée au sol. Une main s'en empara et dans le noir, il lui semblait que le propriétaire de cette main examinée la dague. Une voix dit :      
     
-Chef, regardé la dague.
     
L'homme qui tenait la dague sous la gorge du garçon pris la dague en libérant l'épaule d'Adrien.
     
-On l'emmène vite, avant que des réprouvés ou d'autres montres nous tombe dessus.
    
     
Il pausa un mouchoir sur le visage d'Adrien, qui cherchant à respirer renifla le mouchoir, soudain il se sentit fatigué, de plus en plus, jusqu'au moment ou...      
     
Un lit moelleux, des habits propres posé à côté de lui, une carafe d'eau, une pomme tous cela posé sur une table dans une petite chambre avec de grandes vitres sur le côté droit. Adrien se releva doucement, avec une petite migraine. Il se leva lentement, regarda la carafe et la pomme et se sentit affamé d'un coup, sans réfléchir il prit la pomme et la dévora littéralement, la carafe eux le même sort, il but presque toute l'eau. Il regarda par la fenêtre, dehors un petit potager en étages étaient cultivés par deux personnes avec des chapeaux de pailles et des bêches. A gauche de c'est potager se trouvaient un terrain d'entrainement, avec un mannequin en paille et une petite arène. Mais ou se trouver-t-il ? Il observa les alentours, un peu plus loin, il était... dans les montagnes ! Alors qu'il réfléchissait aux événements de la nuit passée, la porte s'ouvrit et une grande personne habillée de cuir noir, un bandeau sur la tête et cachant son visage s'approcha de lui.
    
     
-Adrien ?
    
     
-O..Oui ?
    
     
-Tu connais Allan n'est-ce pas ?
    
     
-Oui.. Mais ou-t-il ? Que lui avaient vous fait ?
     
-C'est tu qui nous sommes ? C'est tu qui il est ?
    
     
-Oui, c'est un assassin de Ravenholdt ! Et je vais y aller, pour le retrouver. Mais qui est-vous ?      
     
-Je me nonne Alick, je suis un assassin de hauts rangs de Ravenholdt, jeune homme.
     
-Vrai.. vraiment ? Mais pourquoi m'avoir amené ici ?
    
     
-Car tu nous chercher, cela fais trois jours que tu cherche l'entrée de notre base et nous t'avons observé, pour savoir si tu étais digne de confiance, quand mes hommes ont trouvé ta dague et la lettre, je savais que tu pouvais devenir assassin. Mais en es-tu capable ? Et le veux-tu ?

  
     
Adrien, regarda dehors, réfléchit quelques instants et répondit. 
    

  
-Oui

    
-Bien, change toi et retrouve moi dehors, ton entrainement commence dans 10 minutes jeunes homme ! Allez dépêche toi !
     
Adrien, sauta sur les affaires près de lui et se changea en vitesse, puis rejoignit Alick dehors. Ainsi débuta son long entrainement, pour devenir assassin de Ravenholdt.  Un entrainement long et périlleux l'attendait, mais il ferait tous pour retrouver son maître, à qui il devait sa nouvelle vie.
Anayos
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